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La zéolite(*), qui a pour fonction d’adsorber les molécules d’eau et les molécules de gaz, est chargée sur le Kozo (la matière première du papier japonais) pour développer le « papier japonais respirant ».
Chaque brin de papier tordu d’Ehime est tissé à la main, et la zéolite Kozo est filtrée à travers lui pour exprimer légèrement les délicates « nuances de la fibre Kozo« . L’expression moderne du « papier qui respire », possède des fonctions de contrôle de l’humidité et de désodorisation, apportant un effet curatif aux espaces intérieurs.
Une taille maximale de 4000mm x 1700mm peut être produite. Les washi de Requ sont tous faits à la main et sur commande dans notre propre atelier, y compris les variations de papier torsadé, de teinture, d’épaisseur, et la combinaison de différents matériaux. Nous proposons une grande variété de scènes d’intérieur.
*Le mot « zéolite » est dérivé des mots grecs zeo (bouillir) et lithos (pierre). L’origine du mot « zéolite » est qu’il s’agit d’un aluminosilicate qui présente de grands vides dans sa structure cristalline, ce qui sépare facilement l’eau lorsqu’elle est chauffée, donnant l’apparence d’une ébullition. Les grands vides adsorbent les molécules d’eau, les molécules de gaz et d’autres substances, et permettent ainsi de réguler l’humidité et d’éliminer les odeurs, et sont censés prévenir le formaldéhyde et le syndrome des bâtiments malsains.
Les murs qui divisent l’espace peuvent parfois donner un sentiment d’oppression ou de claustrophobie.
Requ propose un mur au concept japonais.
Il ne bloque pas le flux d’air, mais permet à l’air et à la lumière des fenêtres de se partager confortablement.
La forme et la méthode d’installation sont très flexibles et peuvent être utilisées dans une variété de conceptions d’espace.
Connue sous le nom de « Kannonmizu », elle a été sélectionnée comme l’une des 100 meilleures eaux du Japon. Selon une théorie, la pluie qui tombait sur le karst de Shikoku pendant la période Edo (1603-1868) s’est transformée en eau souterraine et a jailli des grottes. On dit qu’elle a apporté la bénédiction de 8 000 tonnes d’eau chaque jour dans la région d’Akanma où se trouve l’atelier, et la fabrication du papier était autrefois une industrie florissante.